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Lac brumeux

Questions fréquentes

Vous trouverez ici la liste de questions qui me sont les plus fréquemment posées. Si vous ne trouvez pas la réponse que vous cherchez, je vous invite à me contacter.

 

Etes-vous conventionnée ? Les séances sont-elles remboursées ? Pouvez-vous réaliser des factures ? 

Je ne suis pas conventionnée, cela veut dire que le dispositif Monpsy ainsi que la sécurité sociale n'interviennent pas dans le remboursement des séances, et ce, quelle que soit votre situation. Seules certaines mutuelles peuvent vous rembourser quelques consultations, je vous invite à vous renseigner auprès de la vôtre pour cela.

 

Je réalise les factures des séances toujours avant la fin du mois. Je les transmet uniquement sous format PDF et les dépose sur Doctolib dans la rubrique "Document" de votre compte personnel que vous trouverez via la rubrique "Santé". 

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Dois-je préparer quelque chose pour la première séance ? Et si je ne sais pas quoi dire ?

Vous ne devez rien préparer, je vous invite à venir tel que vous êtes. Venir consulter une première fois est un grand pas et peut-être quelque chose de très stressant, c'est normal. Si vous ne savez pas par où commencer ni quoi dire (et cela vaut pour les séances de suivi également) : je suis justement là pour vous guider, vous poser des questions, vous accompagner dans vos émotions. 

 

Si toutefois vous souhaitez consulter pour un bilan psychologique, ou que vous souhaitez enclencher un suivi pour votre adolescent suite à la réalisation d'un bilan QI, vous pouvez me transmettre vos documents en amont du rendez-vous via l'application Doctolib ou par mail. 

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Combien de séance dois-je réaliser pour aller mieux ?

Il n'est pas possible de prédire le nombre de consultations dont vous aurez besoin car cela dépends de votre rythme, de votre demande et de vos objectifs. "Aller mieux" peut avoir de nombreuses significations différentes. Il s'agit d'un processus qui implique un travail d'élaboration autour de vos schémas, de votre histoire et ses zones d'ombre, de vos liens et de vos ressentis. Ce chemin implique un engagement dans un travail délicat sur soi qui prend du temps. Une séance n'est pas magique et le psychologue n'est pas tout puissant face aux symptômes de ses patients.

 

De la même façon que lorsque votre corps a besoin de plusieurs séances de rééducation après un accident, le psychisme possède lui aussi son rythme face au changement et il ne s'accélère pas nécessairement grâce aux compétences ou aux outils du psychologue ni par votre propre volonté d'aller mieux. Cette réalité s'applique également aux plus jeunes. 

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Combien de fois dois-je venir par mois pour que ce soit efficace ?

Je considère que c'est davantage la régularité des séances que la fréquence des rendez-vous qui optimise le travail sur soi. La bonne fréquence corresponds à celle que vous sentez avoir besoin. Nous nous adaptons à votre rythme, vos possibilités et le cadre d'accompagnement que nous convenons ensemble.

 

Si vous souhaitez toutefois un repère général : pour mener une psychothérapie, je conseille de venir consulter entre une fois tous les 15 jours à maximum une fois par mois. Au-delà, nous risquons de perdre le fil de votre travail et de le contourner. Pour un besoin de soutien psychologique, la fréquence des rendez-vous peut-être moindre.

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Le père / la mère de mon adolescent n'est pas d'accord pour qu'il / elle consulte, est-ce un problème ?

D'un point de vue légal, au regard de la jurisprudence de la décision du 28 février 2011 de la Cour d’Appel de Lyon, il est nécessaire de distinguer les actes usuels des actes non usuels de l'autorité parentale. 

 

En deçà de quatre consultations par an chez un psychologue, la démarche d'emmener son enfant consulter, et ce de façon ponctuelle, est considérée comme étant un acte usuel de l'autorité parentale qui rentre dans un cadre de prévention de sa santé mentale. Dans ce cadre là, il n'est pas nécessaire pour le psychologue de s'assurer de l'accord des deux parents car il est présumé comme acquis, à moins qu'un désaccord ne soit clairement explicité. En revanche, au delà de quatre séances par an, emmener son enfant consulter régulièrement chez un psychologue est considéré comme étant de la psychothérapie et donc comme étant un acte non-usuel de l'autorité parentale. Par conséquent, la démarche nécessite l'accord explicite des deux parents. A ce moment, pour pouvoir continuer la prise en charge, je transmet un document d'accord écrit qu'il faut me retourner signé par les deux parents. 

Quoiqu'il en soit, dans l'intérêt de votre adolescent et de la continuité de son suivi, je vous conseille d'informer et de solliciter l'accord de l'autre parent dès la première séance afin d'éviter tout conflit qui pourrait nuire à la qualité de sa prise en charge. 

 

Il est à noter également que si j'apprend le désaccord de l'autre parent, le suivi est contraint de s'arrêter et ce, qu'importe où nous en sommes dans le processus. 

Par ailleurs, l'avis N° 09-11 du CNCDP mentionne que lors de situations exceptionnelles où cet accord n'est pas possible à obtenir (parent disparu, qui ne donne plus de nouvelles, n'a pas d'adresse connue, parent hospitalisé ou dans l'incapacité de se prononcer), cela ne doit pas empêcher la prise en charge de l'enfant à condition, encore une fois, qu'aucun désaccord ne soit explicité. 

 

Si vous vous retrouvez dans une situation qui bloque le suivi de votre adolescent, il vous reste la possibilité d'avoir recours à une consultation de guidance parentale où vous pouvez vous rendre seul(e), sans l'accord nécessaire de qui que ce soit. Pour en savoir plus, je vous invite à vous rediriger vers l'onglet Consultations.

6

Accompagnez-vous plusieurs membres d'une même famille ?

Pour des raisons déontologiques, je n'accompagne pas plusieurs membres d'une même famille ou d'une même fratrie. Je considère également que délimiter des frontières distinctes entre les espaces thérapeutiques de chacun est important voire nécessaire pour s'autoriser à explorer pleinement ce que l'on ressent sans aucune censure. La fin de la prise en charge d'un membre d'une famille ne change pas cette règle dans mon cadre d'accompagnement.

7

Comment s'arrête le suivi ? Puis-je le décider quand je le souhaite ? Pouvez-vous décider vous-même d'arrêter le suivi ? 

Le suivi s'arrête quand vous le décidez, jamais je ne m'y oppose quelle que soit la raison, car vous êtes responsable de vos choix et de votre évolution tout au long du processus. Je demande toutefois que vous m'en fassiez part, de manière à ce que nous puissions clôturer sereinement le travail que nous avons mené ensemble.

 

En revanche, il me semble important de rappeler qu'un psychologue n'est pas un pompier : aller mieux depuis une semaine alors que la semaine d'avant vous aviez des symptômes de burn-out n'est pas le fruit d'un travail réalisé en profondeur. Il est important d'avoir conscience que traverser des phases d'apaisement fait aussi partie du travail thérapeutique. Aller en séance avec l'esprit dégagé pour parler de ce qui va mieux peut être justement très salvateur pour renforcer vos ressources.  

Je me laisse également la possibilité d'interrompre le suivi que nous menons ensemble (ou avec votre adolescent), si je m'aperçois que je ne suis plus la personne indiquée pour vous accompagner. 

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Camille Lafond, Psychologue clinicienne

9 Rue Vaucanson 07200 Aubenas

07 69 56 11 12

camillelafond-psychologue@outlook.fr

RPPS : 10008799016

ADELI : 079304937

SIRET :​ 898 959 234 00011

Pour prendre contact

Pour des premières demandes, vous pouvez me joindre au 07 69 56 11 12
Je ne suis toutefois pas joignable durant mes consultations, ni en dehors de mes heures de travail, il est donc difficile de me joindre par ce biais.​​​ 
 
Le plus simple pour prendre rendez-vous ou pour m'adresser une demande est de passer par la plateforme de Doctolib, vous aurez accès à toutes mes disponibilités. Une messagerie est également à votre disposition et je réponds toujours dès que possible. 

Au plaisir de vous rencontrer,​

 

Camille Lafond

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